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N° 110 de Pascal PAUTET Vendredi 29 Octobre 2010
SUJET : obligations militaires, guerres...
bonjour
de 1800 à1902 je ne trouve que très rarement la mention "dégagé des obligations militaires", comme si très peu de jeunes gens avaient accompli leurs obligations militaires
alors:
-soit ils se mariaient avant d'accomplir leurs obligations militaires
-soit ils n'étaient pas concernés....
d'autre part lors des décés je n'ai jamais eu la mention "mort à la guerre"
je doute que tous mes ancêtres soient passé au travers des guerres (napoléoniennes, 1870, ...)
qu'en est-il pour vous ?
y a-t-il un moyen de retracer l'histoire des appelés (j'ai un ancêtre décoré de la médaille militaire en 1870 : mention sur son acte de décés, mais je n'ai pas obtenu de réponse du service gérant les médaillés)
merci
COMMENTAIRE de FALGUIERE J M
Mardi 2 Novembre 2010
Bjr,
En consultant les registres du 19éme siècle on trouve parfois la transcription du décès d'un militaire mais également de civil si l'officier de l'état civil du lieu du décès à suffisamment d'information quant au lieu de naissance ou de résidence du défunt.
Pour en savoir plus voir le site mémoire des hommes.
Cordialement.
J M Falguière.Ajouter un commentaire
N° 109 de Alain Combes Vendredi 8 Octobre 2010
SUJET : Patronyme NOALHAC
Suite à une question qui m'a été posée au mois de septembre à Valleraugue, je vais tacher d'y répondre en espèrant que la personne qui m'a posé cette question regarde le forum
COMMENTAIRE de Alain Combes
Vendredi 8 Octobre 2010
ce patronyme est issu évidement d'un nom de lieu : En haute Lozère à la limite du Cantal, dans l'Aubrac se trouve le Village de Noailhac, il n'est pas le seul à porter ce nom, et l'on retrouve en zone Nord occitane et en limousin la forme Noailles. En pays Viganais,avec le suffixe plus méridionnal "Anum-an" on trouve à Roquedur l'église St Pierre de Noalhan, comme dans Marseillan , Pignan, Lédignan, etc.
Donc Noalhac avec le suffixe gallo romain d'appartenance "Acos" et la racine "Nogus" noyer, signifie donc : la propriété aux noyer, donc un synonyme de nogaréde, nogaret ou nouzerand.
Amicalement
Alain
COMMENTAIRE de fabienne Blanc
Lundi 25 Octobre 2010
Merci d'avoir pris le temps de me répondre en détail.
Amicalement. F Blanc
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N° 108 de renee.peraud@wanadoo.fr Lundi 4 Octobre 2010
SUJET : documents sur NOTRE DAME DU BONHEUR
Bonjour à tous ,
Dans quels documents ou livres je peux trouver des infos sur l'abbaye de Notre
Dame du Bonheur (BONAHUC )et plus particulièrement sur les naissances et les mariages ? et aussi sur la ferme auberge :la barraque de Miquel .
Merci cordialement RENEE .
COMMENTAIRE de Gilles Fournier
Mardi 5 Octobre 2010
bonjour,
"Bonahuc, au coeur des cévenne" par A. DURAND-TULLOU et Y.CHASSIN du GUERNY (1983 imprimerie des Cévennes) retrace l'histoire de Notre Dame du Bonheur :1002 à 1791.
L'AGAC à numérisé les BMS et divers documents relatifs à Notre Dame Dame du BONHEUR.
Cordialement
GillesAjouter un commentaire
N° 107 de Roman Jean Marc Lundi 27 Septembre 2010
SUJET : Mas de Puéchagut et métairie de la Broue.
Bonjour à tous:
1 question:merci de bien vouloir m'indiquer ou se trouvait la métairie de la Broue
(certainement pas très loin du col de la Broue,environ 1km après le mas de Puéchagut)lieux ou mes aïeuls habitaient après leur mariage:
ARNAL Pierre et MICHEL Marie le 7/4/1828 à BREAU et SALAGOSSE.
2 question:serait-ce possible de savoir qui étaient les propriétaires du mas de
Puéchagut ou sont nés plusieurs de mes aïeuls:MICHEL (Victoire 12/2/1805,Maurice
12/4/1806,J-Antoine 11/12/1807,Noé 1/1/1810)et bien d'autres.A t'il toujours
appartenu à l'ONF ou se le sont ils accaparé .
Merci en tout cas pour votre réponse.
cordialement ROMAN Jean Marc.
COMMENTAIRE de Alain COMBES
Lundi 27 Septembre 2010
Bonsoir Mr Roman
La métairie de la Broue se trouve au col de la Broue à 100 m du col en direction du Minier , c'est actuellement l'hôtel des Cascades d'Orgon dit aussi la baraque de Ribaud. Sur l'un des derniers bulletins de l'AGAC je parle de cette maison, dans l'article sur les conquistadors de l'Aigoual au 20° siècle, je ne suis pas sûr que cette maison appartienne contrairement à la "Villa Lily" à présent à Willy Abric, fils de " l'Américain"
Quand à la ferme de Puechagut sous l 'ancien régime, elle était depuis le 17° siecle une ferme dépendant directemment du baron d'Hierle, et le régisseur au 18° siècle en était Pierre de Roussy , elle employait des fermiers qui étaient au moment de la capture de camisards à Puech Agut : Etienne Mahistre qui fut pendu au Vigan et Jean Vignes qui réussit à s'enfuir.
Je ne sais qui en était les propriétaires aprés la révolution, aprés bien sûr les eaux et forêts l'acquirent ( au prix fort ou pour une bouchée de pain çela non plus je ne saurais vous le dire
Amicalement
Alain
COMMENTAIRE de Alain COMBES
Lundi 27 Septembre 2010
Bonsoir Mr Roman
La métairie de la Broue se trouve au col de la Broue à 100 m du col en direction du Minier , c'est actuellement l'hôtel des Cascades d'Orgon dit aussi la baraque de Ribaud. Sur l'un des derniers bulletins de l'AGAC je parle de cette maison, dans l'article sur les conquistadors de l'Aigoual au 20° siècle, je ne suis pas sûr que cette maison appartienne contrairement à la "Villa Lily" à présent à Willy Abric, fils de " l'Américain"
Quand à la ferme de Puechagut sous l 'ancien régime, elle était depuis le 17° siecle une ferme dépendant directemment du baron d'Hierle, et le régisseur au 18° siècle en était Pierre de Roussy , elle employait des fermiers qui étaient au moment de la capture de camisards à Puech Agut : Etienne Mahistre qui fut pendu au Vigan et Jean Vignes qui réussit à s'enfuir.
Je ne sais qui en était les propriétaires aprés la révolution, aprés bien sûr les eaux et forêts l'acquirent ( au prix fort ou pour une bouchée de pain çela non plus je ne saurais vous le dire
Amicalement
Alain
COMMENTAIRE de Roman Jean Marc
Mardi 28 Septembre 2010
Merci Alain pour toutes ces explications toujours aussi
précises et perspicaces.
Bien amicalement Jean Marc
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N° 106 de Alain COMBES Vendredi 24 Septembre 2010
SUJET : Surnoms en Cévennes
Bonjour
Suite à la trés intéressante question sur les Surnoms, je voudrais vous expliquer le pourquoi de ces surnoms:
Quand vers l'an 1100 le système actuel de noms avec prénom chrétien, les parents prirent l'habitude de caser leur propre prénoms à leur fils ou fille aînés, et les enfants suivant écopèrent du prénom des grands parents ou des oncles et les tantes; Avec un but évident que comme ils n'auraient pas pratiquement pas droit à l'héritage paternel, ils glaneraient de ci de là un peu de monnaie en provenance du pépé ou du tonton. Et pourtant il était encore loin le temps des..... tontons d'Amérique.
Aussi ce système fut vite saturé , beaucoup de cousins même éloignés étaient doté du même nom et prénom, personne ne savait plus qui était qui , Alors les surnoms, ici l'on dit les sobriquet arrivèrent à la rescousse.
Il y avait les surnoms en rapport avec un toponyme ex:Nogarède dit " la Baume"
Ceux issu d'un patronyme ex: Combes dit "Bragouze"
Ceux issue d'une profession ex: Martin dit " Teissier" autre Martin dit "Teulaire"
Ceux occitan vraiment intraduisibles en français ex : Martin dit "Bistansson" Teissonnière dit "Candale"
Et enfin les surnoms moqueurs ( ils n'étaient pas à l'époque les plus nombreux) ainsi Martin dit "Fidèle" un sacré coureur de jupon, ou Doulcet dit " Mignon" qui avait un visage plutôt ingrat!
Certains de ces prénoms sont encore de nos Jours en usage, car bien sûr le fils héritait entre chose du surnom de son père, ainsi Nogarède dit "La Baume" à Arphy et Combernoux dit " le Perdigal" à Aumessas
je vous parlerai ensuite des surnoms du 19° et 20° siècle;
Alain
COMMENTAIRE de Alain Combes
Vendredi 24 Septembre 2010
Suite : Les Surnoms plus récents
Au début du 19° et jusqu'au milieu du 20° siècle les surnoms en Cévennes connurent une période faste : Dans chaque village absolument tous les habitants portaient chacun comme une étiquette leur surnom personnel; Et comme certains plutôt d'un gout douteux , ne volaient pas trop haut, et comme l'on dit bien en dessous de la ceinture.
Ainsi à Molières, une personne à qui l'on avait mis, devant son jardin qui lui servait de coin d'aisance, une superbe statue de la vierge, fut vite surnommée "Cul béni".
Et même certains étaient même méchant, ainsi une femme qui était née boiteuse était nommée "la Canarde". Il faut dire donc , que là pratiquement tous ces surnoms étaient du genre moqueur.
Ils étaient aussi tellement exclusifs que certains ne connaissaient pas ni le prénom, ni le nom de leur voisin, ils connaissaient par contre parfaitement .... leur sobriquet.
Je posséde une photo de mariage entre gens du village d'Arphy et je peux citer le surnom de tous. il l'y avait là :
POUTEQUE, RABISSE, NICOULE,PETARD,BOUREILLE,CHAPEAU, CAGAVER,SACHIPA,MIGNON et son père CHAPEAU, le CONTINENT et sa moitiée la CONTINENTE,le TONKIN, RABISSE et sa RABISSOUNE, LAURETTE et son fils LAURETTOU,BOUREILLE,la belle TITITI et son frère la MERLUSSE,SAUSSISSOT sans oublier le RABINAT. voilà une belle brochette et encore j'en passe.
Bref certains furent bien soulagés, quand vers les années 70 devant l'arrivée en masse des "ESTRANGERS" les Cévenols autochtones pour montrer entre eux leur solidarité et leur fraternité finrent des'appeler rien que par leur prènom!
Et je pense moi aussi, malgré le certain cachet pittoresque de ces surnoms il en est est mieux ainsi!
COMMENTAIRE de Elsie ZASTRIZNY
Dimanche 26 Septembre 2010
Ce commentaire est très intéressant et vivant. J'avais remarqué que dans les familles cévenoles les même noms et prénoms revenaient constamment mais je n'avais pas pensé que cela pouvait être pour des questions d'héritage.
Dans la famille Chanson c'est très vrai en tout cas et dans la même génération plusieurs personnes portent le même nom et le même prénom. Le prénom de Pierre en particulier est très fréquent, sans doute le "patriarche" de la famille. Celui de Louis revient aussi très souvent par référence, je pense, au galérien. Mon grand père s'appelait Albert Louis en souvenir de ce martyr de la foi.
Pour les Vallerauguois: mon papa qui est né à Fenouillet dans la commune de Valleraugue se souvient qu'il y avait à Valleraugue quand il était petit un homme que l'on appelait "lou tchi" (le chien, je ne suis pas sûre de l'orthographe) et un autre "lou pendulaïre".
Cette pratique des surnoms perdure quand même un peu en Cévennes. Dans l'entreprise alésienne où je travaille les surnoms sont encore nombreux. Il y a "la bélugue" (c'est l'électricien), "la daille", "ventrêche", "grille pain", "roule à gauche", "béni oui oui", "le rabin" etc.... chaque surnom faisant allusion à une anecdote, à un comportement ou à une particularité physique.
La généalogie n'est-elle pas passionnante? elle permet de découvrir beaucoup plus qu'une simple liste de dates de naissance, de mariage ou de décès.
Cordialement
Elsie ZASTRIZNY
COMMENTAIRE de Pascal PAUTET
Lundi 27 Septembre 2010
Bonsoir
quel lien faites-vous entre les prénoms et l'héritage ?
les parents ne transmettaient-ils pas leur héritage à leurs enfants (sauf contrat notarié) ?
Auguste, fils de Léon, petit-fils de Auguste héritait-il de son grand-père ?
et son frère Jean n'avait rien ?
j'ai du mal comprendre ...non ?
COMMENTAIRE de Alain COMBES
Mercredi 29 Septembre 2010
Bonjour
Ce n'était qu'une boutade, l'enfant si vous préfèrez "recoltait" le prénom de son père.
Pour les héritages sous l'ancien régime c'était le droit d'ainesse qui prévalait. l' aîné (en principe car il y eut des dérogations à la règle) conservait la maison ou l'exploitation famillale s'il y en avait une. Les filles touchait chacune une dot, et les garçons "puinés" comme on disait alors se contentaient des restes; En général on tachait de leur apprendre un mêtier. s'ils n'avaient rien ils partaient à l'armée, faire leur tour de Françe ou se faire embaucher comme saisonniers.
le droit des aînés n'étaient pas sans contreparties , il fallait que le couple héritier s'occupe du survivant des testateurs " buvant le même vin et mangeant le même pain" Quelle belle fille de nos jours supporterait tous les jours le beau père ou la belle mère
Cette question m'a permis de répondre à des choses qui bien souvent à l'époque étaient bien différentes par rapport à la vie que nous menons actuellement;
COMMENTAIRE de Pascal PAUTET
Jeudi 30 Septembre 2010
me voici "rassuré" !!
dans la lignée du sujet "héritage", comment faut-il interpréter les contrats de mariage passés par des "promis" aux 18 eme et 19 eme siècles ?
puisqu'il y avait une règle/tradition (cf ci-dessus), pourquoi certains promis passaient-ils devant notaire ?
pour apporter une entorse à la règle ?
je n'ai récupéré qu'un seul contrat de mariage de ma généalogie (hautes alpes) où je vois qu'un aïeul a protégé sa descendance car un de ses fils s'est remarié (il a évité que son lopin de terre passe dans la famille de la promise du 2eme mariage)
avez-vous des explications sur les raisons de ces contrats ?
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N° 105 de Elsie ZASTRIZNY Mardi 21 Septembre 2010
SUJET : demande de signification d'un surnom
J'ai relevé dans les registres de la paroisse du Pompidou une famille où, de père en fils, les hommes ont porté le surnom de "devèze" . Exemple/ Louis Arnal dit "devèze". Que peut signifier ce surnom? Pour moi la devèze est un endroit plat en haut d'une colline. Et on trouve ce toponyme dans plusieurs commune des Cévennes.
Cordialement
Elsie ZASTRIZNY
COMMENTAIRE de Alain Combes
Mardi 21 Septembre 2010
Bonsoir
sur le dict de Jacques Astor des "Noms du midi de la France" P 288
LA DEVEZE :
le latin "defensus "à donné le français ancien "defens" et l'occitan "devés" donc: terre seigneuriale interdite à la chasse pour les manants, et aussi: prés communaux interdit à la pature des troupeaux provenant des villages voisins (cette défense s'appliquer sur les montagnes cévenoles aux troupeaux transhumants et seul les gens du pays pouvaient y faire paître leurs bêtes
Le féminin dévèze est de même signification mais par le latin féminin miédiéval "défensa";
Je connaissai ce terme mais j'ai préféré m'en référer au dict de Jacques Astor qui est une véritable bible en la matière
En ce qui concerne le surnom il est courant que ce surnom provienne d'un patronyme ancien ascendant
Ainsi pour mon patronyme COMBES j'ai COMBES dit "Gazandou" d'une ancêtre Joséphine GAZAN, mais plus anciennement aussi COMBES dit "BRAGOUZE" Bragouze patronyme d'une famille de Gatuziere et COMBES dit "MARTIN" Martin patronyme de Sérigas à Meyrueis
Donc il est pratiquement certain que vous rencontriez de ce coté là un ancêtre nommé DEVEZE patronyme très courant, le tout savoir à quelle époque car les surnoms se transmettaient de père en fils et cela sur plusieurs siècles!
Bien amicalement Alain
COMMENTAIRE de Elaie Zastrizny
Mercredi 22 Septembre 2010
Merci monsieur Combes pour ces explications toujours précises et très bien documentées.
A propos de surnom je puis raconter une anecdote amusante. Dans une paroisse de la Lozère il y a une famille à qui un surnom assez rigolo a été attribué (permettez mois de taire le nom de la dite paroisse et de la famille en question par respect pour les descendants s'il en existe encore). Un de leurs ancêtres a fait la guerre de Crimée et est revenu vivant mais le malheureux a attrapé une maladie intestinale avec les conséquences que l'on peut imaginer... Pas très charitable la population du lieu lui avait attribué le surnom de "cacagne". Untel dit cacagne. Comme vous le dites très justement les surnoms se transmettent de père en fils. Mais comme c'est pratique tout de même de distinguer les individus le fils s'est vu attribuer le surnom de "cagagnette". Untel dit "cagagnette". On ne s'arrête pas lorsqu'on est si bien lancé, le petit fils s'est vu, lui, attribuer le surnom de "cagagnou". Belle lignée. Cela fait partie des perles rares que l'on découvre en faisant de la généalogie.
Cordialement et encore marci pour votre réponse.
Elsie
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N° 104 de Pascal PAUTET Lundi 20 Septembre 2010
SUJET : exploitant agricole
Bonjour
selon les actes (d'une même époque et d'une même commune), je lis :
-cultivateur (et souvent propriétaire cultivateur)
-agriculteur
ces deux mots avaient-ils des sens différents au 19 eme siècle ?
COMMENTAIRE de Alain Combes
Mardi 21 Septembre 2010
Bonsoir
Ces deux termes sont typiques du 19° siecle pour désigner un petit propriétaire vivant de ses terres, il y avait aussi le propriétaire Foncier (celui qui paie des contributions foncières)
Peut être le propriétaire Foncier et le propriétaire cultivateur étaient un peu mieux lotis ou plutôt en donnant cette appellation (d'origine non garantie) se croyait mieux loti et plus riche que les autres.
tout cela de toute façon signifie à peu prés la même chose!
des paysans peut être pas à la misère noire, mais qui "bossaient" durement pour gagner leur croute de pain sec!
J'y ajouterai les travailleurs de terre et les journaliers, cela ils travaillaient pour les autres , et eux les pauvres gens sans terre travaillaient pour les plus riches, pour les bourgeois et les notables trimaient toute leur vie pour finir en crevant de faim.
"pauvre Martin,pauvre misère"
On peut ajouter aussi à ces appellations le Patronyme issu de toponyme "JOURNET " terrain qui se travaille dans une journée et "CARTAYRADE" grandeur de terrain que l'on trouve dans une carte, la carte étant aussi la surface de terre que l'on peut labourer dans un certain temps.
Ces deux termes avaient du par la suite probablement désigné aussi l'un le travailleur travaillant à la journée et l'autre travaillant à la carte.( ne pas confondre avec la carte du restaurant)
Il ne vaut pas oublier que toutes ces appelations sont interchangeable.
Ainsi des propriétaires cultivateurs pouvaient pour certains jours aller travailler chez les autres pour arrondir ses fins de mois et devenir ainsi un travailleur de terre.
Et même plus certains qui n'avaient que peu de terres pouvaient aller s'embaucher à l'usine comme faiseur de bas ou bassier et travailler sa terre après sa journée à l'usine.
Tous ces termes étant bien ambigus, on peut désigner le cévenol du temps jadis comme un : TRAVAILLEUR POLYVALENT
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N° 103 de corinne Lundi 20 Septembre 2010
SUJET : Mariage LAVIE / ST ETIENNE (vers 1878)
Je recherche désespérément la date et le lieu de mariage des grands-parents de mon grand-père. Ce couple a vécu à Saint-Sauveur de Cruzières (07) mais je n'ai aucune trace de leur mariage en Ardèche et je présume qu'Anaïs Clémence LAVIE a épousé Alphonse Camille SAINT-ETIENNE dans le Gard où elle a dû naître vers 1858. Alphonse Camille SAINT-ETIENNE est né à Saint Sauveur de Cruzières.
Je vous remercie de m'avertir si au cours de vos recherches généalogiques vous avez "croisé" mes aieuls.
Corinne
familleperrot@yahoo.fr
COMMENTAIRE de FALGUIERE J M
Mardi 21 Septembre 2010
Bjr,
Je pense qu'il vous faut commencer par trouver la date et le lieu du décès de l'époux et de l'épouse et vous procurer la copie de l'acte qui en principe vous donneras dates et lieux de naissance respectifs ainsi que l'ascendance, la date de naissances des enfants de se couple se révéleront fort utile aussi pour affiner la fourchette de recherches, ensuite il faut chercher à la mairie des deux époux ou aux archives départementales le mariage ou les publications du mariage car si l'épouse à déménagée après sa naissance et pas l'époux vous devez trouver cela m'est arrivé récemment.
Cordialement.
J M Falguière.Ajouter un commentaire
N° 102 de Elsie ZASTRIZNY Samedi 18 Septembre 2010
SUJET : Message monsieur Alain Combes concernant la généalogie d'André Chamson
Je viens de lire votre message. C'est avec grande joie que je recevrai les photos que vous avez fait sur le Mont Chanson cet été. C'est très gentil à vous d'y avoir pensé. Voici mon mail personnel pour que vous puissiez me les envoyer: e.zastrizny@orange.fr
Concernant la généalogie d'André Chanson je partagerai avec grand plaisir les découvertes que j'ai fait ou celles qui m'ont été apportées par d'autres généalogistes qui m'ont aidée. J'ai de façon certaine tous les ancêtres d'André Chanson à partir de Claude Chanson et Marie Florac. Je sais que c'est à la suite d'une erreur survenue en 1836 que le nom Chanson est devenu Chamson. Le premier Chanson à porter le nom de Chamson est Louis Jules Chanson né le 27 novembre 1836 à Générargues. C'est dans cette commune que le nom a été mal écrit et est devenu Chamson. C'était le grand_père d'André Chamson.
Concernant les parents de Claude Chanson époux de Marie Florac à ce jour je n'ai pas trouvé de document l'établissant de façon certaine mais j'ai la quasi certitude qu'il s'agit de Pierre Chanson et Suzanne Arnal dont on trouve les noms dans la liste des nouveaux convertis de Saint Flour du Pompidou vers 1697. Leurs enfants sont cités : Pierre, Jean (né en 1685 j'ai trouvé son acte de baptême)Louis (qui sera galérien) Claude et Antoine. Ce couple aura un autre fils prénommé Estienne, né après 1697. On trouve son acte de mariage dans les archives de Florac 1MI EC 061 ART 6 PAGE 41
La descendance de Claude Chanson et Marie Florac est très bien connue puisque Claude Chanson a fait baptiser ses enfants catholiques et on trouve tous les actes dans la commune de Gabriac où il vivait (hameau du prunet). Le premier fils de Claude Chanson(Jean Antoine Chanson) est né le vendreedi 14 novembre 1821 à Gabriac. On peut supposer que son père avait au moins vingt ans à sa naissance. Il est donc impossible qu'il y ait eu une autre génération entre Claude Chanson époux de Marie Florac et Claude Chanson le frère du galérien. Je pense donc que le frère du galérien Claude Chanson (né entre 1686 et 1697)et qui a épousé Marie Florac est l'ancêtre D'André Chanson.
Il serait trop long d'expliquer dans ce forum les éléments qui m'ont fait penser que cette famille est originaire du Cantal. Bien sûr je vous les communiquerai avec plaisir. Allez vous souvent dans les locaux à Valleraugue? Nous pourrions peut-être nous y rencontrer et faire ainsi connaissance. Je suis en pré retraite à partir du premier octobre (ouf!) Je serai donc plus libre pour venir dans les locaux de l'association. Je suis libre la première quinzaine d'octobre (après je dois subir une petite intervention chirurgicale). Si vous pensez vous y rendre dans cette période faites moi signe et j'essaierai de venir et d'apporter mes documents.
Vous évoquez une revue où est parue récemment une généalogie d'André Chanson. Je ne la connais pas. Que signifie ce sigle? ou peut-on se la procurer?
Cordialement et à bientôt je l'espère.
Je précise encore que j'aide volontiers toute personne qui en ferait la demande. J'ai moi même été aidée par d'autres généalogistes et je trouve absolument normal d'aider moi aussi les autre lorsque je le peux.
Elsie Zastrizny
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N° 101 de Robert JEANJEAN Jeudi 16 Septembre 2010
SUJET : Généalogie
Merci à Monsieur Fournier. Merci pour l'indication du site qui me permet de consulter maintenant les AD 48.
Robert JEANJEANAjouter un commentaire
N° 100 de Elsie ZASTRIZNY Mercredi 15 Septembre 2010
SUJET : Message pour Florence Garcia concernant la généalogie de la famille Chanson
J'ai pris récemment connaissance de votre demande concernant la famille Chanson du Masaribal. Il semble que nous avons des ancêtres communs. Je ne vous ai pas répondu plus tôt car j'étais absente au mous d'août, ensuite je n'arrivai pas à utiliser le forum. Gilles fournier a eu la gentillesse de tout réparer.
Pierre Chanson époux de Jeanne Reversat est un de mes ancêtres. Il est l'arrière grand-père de mmon arrière grand père.
Merci de me donner un peu plus de renseignements concernant vos ascendants dans le famille Chanson et je verrai si je peux vous aider. Il convient d'être assez prudent car, comme dans beaucoup de famille cévenole, il y a des prénoms en cascade qui reviennent très souvent. Dans la même génération il n'est pas rare de voir plusieurs personnes porter le même nom et le même prénom. Ainsi les Pierre Chanson sont légions. Dans cette famille les prénoms de Pierre, Louis, Jean, Antoine ou Claude reviennent constamment chez les hommes. chez les femmes ce sont les prénoms de Marie, Louise et Suzanne.
Cordialement
Elsie Zastrizny
COMMENTAIRE de Alain Combes
Vendredi 17 Septembre 2010
Bonjour Mme Zastrizny et merci d'être à nouveau des nôtres.
Etant allé à Chaudes Aigues pour des renseignements à propos d'une cure thermale, je suis passé par Montchanson (tout à coté de Chaudes Aigues) .
j'ai pris quelques photos de Montchanson que je peux vous faire parvenir si vous le désirez.Le clocher du hameau (en biais par rapport à l'église et très pointu)est très pittoresque!
D'autre part, le bulletin de la SHPF vient justement de publier une généalogie de André Chanson mais qui est sans réference dés Jean époux Suzanne Philip et ne descend pas au dessous de Claude époux Marie Florac(sans référence pour ce dernier)
Aussi auriez vous la gentillesse de nous faire parvenir les complements que vous possédez ( pour l'usage du club de Valleraugue) Je pense que vous trouverez comme nous normal à ce que le club de généalogie de la commune où est enterré l'écrivain possède l'ascendance la compléte possible de ce dernier.
En connaissant votre amabilité et votre gentillesse merci par avance
Amicalement vôtre
Alain
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N° 99 de Gilles Fournier Mercredi 15 Septembre 2010
SUJET : incident
bonjour à tous,
Merci de m'avoir signaler la panne.
Je pense que tout fonctionne à présent
Gilles
COMMENTAIRE de Gilles FOURNIER
Mercredi 15 Septembre 2010
et l'ajout de commentaire fonctionne
GillesAjouter un commentaire
N° 98 de ROUX EVELYNE Lundi 6 Septembre 2010
SUJET : DEMANDE DE RENSEIGNEMENTS
Bonjour
Pourrkiez-vous me dire comment fonctionne le site ? et comment faire pour consulter vos actes sachant que je suis en franche comte et ne pouvant pas me deplacer.
Avez-vous les releves sur papier des communes ? et que veux dire informatise ou numerise dans votre liste.
Je vous remercie d'avance pour les reponses
Cordialement
Evelyne
COMMENTAIRE de Le webmaster
Mardi 7 Septembre 2010
Bonjour Evelyne,
la base de mariage environ cent mille actes,non filiative permet de rechercher les patronymes et les lieux.
nous utilisons informatisé lorsque le relevé de la commune existe (fichier excel)et numérisé dans le cas ou nous avons photographié l'état civil de la commune.
Si vous adhérez à l'AGAC:
accès à quelques (peu pour l'instant, mais on y travaille ) relevés (Valleraugue, etc)
Si mariage présent dans la base, disponibilité sur demande des éléments contenus dans le relevé (filiation, etc.) et photo de l'acte si disponible.
Une rubrique Question/Réponse.
Cordialement
Gilles FOURNIER
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N° 97 de Alain Combes Vendredi 3 Septembre 2010
SUJET : les " Pierrelettes"
Pour des recherches qui ne sont pas généalogiques, et c'est pour cela que je pose cette question sur le forum, j'aimerais avoir les renseignements suivants.
C'est à propos d'une bande de mauvais garçons qui sévissait encore à l'Espèrou au début du 20° siècle à la façon des petits nobles pillards du moyen âge ou des "chauffeurs" de la fin du 18° Cette bande de "loubards" était surnommée "les Pierrelette", des Dupont et des Reilhan entre autres . Quelqu'un peut peut me donner les noms et les prénoms de ces personnes et me dire les principaux " méfaits" de ces sinistres individus qui je crois surtout rançonner les voyageurs de passage.
Pour pouvoir éclairer ma lanterne merci d'avance Alain
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N° 96 de Robert JEANJEAN Jeudi 2 Septembre 2010
SUJET : Généalogie
Bonjour,
Je souhaiterais consulter les archives départementales de Lozère en ligne, notamment les registres paroissiaux de quelques communes et les pièces d'état civil. je suis complètement perdu dans le dédale du site et ne parviens pas à aboutir.
Quelqu'un, un usager de ce site pourrait-il me donner le "mode d'emploi".
Par avance merci
Robert JEANJEAN
COMMENTAIRE de Le webmaster
Jeudi 2 Septembre 2010
bonjour,
je vous suggère d'utiliser le site //nlawriw.free.fr/AD48/ très simple d'emploi
clic sur visionner les registres
Choix de la commune et du registre par menu déroulant
cordialement
Gilles FOURNIER
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N° 95 de Rocal38 Vendredi 27 Aout 2010
SUJET : famille Roques Allier
Famille maternelle originaire du Gard et de la Lozère ,je me lance dans l'inventaire de mes aîeux et la recherche de leur mode de vie (St André de Valborgne , St Privas de Vallongue)
Un passage aux archives du Gard m'a permis de "déblayer" le terrain.
Des généalogistes présents aux archives m'ont conseillé de vous rejoindre , conseil déjà donné par lgw30)
Donc me voici "virtuellement" puisque je suis grenoblois
J'ai envoyé deux mails aux personnes mentionnées dans "où nous joindre", mais j'ai l'impression qu'ils ne sont pas passés
Je vais attendre un peu en lisant le forum !
à plus
COMMENTAIRE de le webmaster
Dimanche 29 Aout 2010
bonjour,
Nous pourrons vous aider pour Saint André de Valborgne; par contre à ce jour rien sur St Privat de Vallongue.
Vous pouvez me contacter à l'adresse 'site@agac-valleraugue.fr'.
Cordialement
Gilles FOURNIER
COMMENTAIRE de JC CARRIER
Dimanche 5 Juin 2011
Mon arrière grand mère s'appelait Adrienne Léonie ROQUES née ALLIER née le 26 Janvier 1867 , décédée le 27 janvier 1963 et ayant vécue à Saint André de Valborgne.Somme nous cousins? J'ai un arbre généalogique de ma famille.
jeanclaude.carier@orange.fr
COMMENTAIRE de JC CARRIER
Dimanche 5 Juin 2011
Mon Mail est jeanclaude.carrier@orange.fr
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N° 94 de Florence Garcia Mercredi 21 Juillet 2010
SUJET :
j'ai des ancêtres du nom de Chanson né au Mazaribal au Pompidou.J' ai vu que Elsie ZASTRINZY travaille sur ce patronyme, pouvez vous m'orienter dans mes recherches ? J'ai deux branches de CHANSON. Une : Pierre x Marie VAUQUIER , ce Pierre est fils d'un Pierre CHANSON.
L'autre branche s'arrête à Pierre Chanson x Jeanne REVERSA. 18ème siecle.Sont-ils parents.
Merci
Amicalement
Florence Garcia
COMMENTAIRE de Elsie ZASTRIZNY
Lundi 20 Septembre 2010
Merci de lire la réponse adressée plus haut concernant la généalogie de la famille Chanson du Masaribal.
Cordialement
Elsie ZASTRIZNYAjouter un commentaire
N° 93 de Alain Combes Vendredi 16 Juillet 2010
SUJET : Cévenne oh ma Cévenne, qu'est ce que l'on dit de toi
Dans le dernier bulletin de l'AGA,page 2 dans l'article, non signé ( Vous avez dit "Cévennes"?) on lit en tête d'article:" Le nom Cévennes aurait été donné par Jules César...... il baptisa alors ce pays montagneux "Au sept veines" d'où le nom de Cévennes par déformation.
Qu'est ce que l'ami "Jules" viens faire dans cette galère? De plus je ne savais pas que le brave homme savais parler français, langue en vogue 1200 ans seulement après la mort de notre brave " Jules".
Il est vrai que André Chamson dans son livre "le chiffre de nos jours" voulait absolument que le grand "Julius Caesare" est trainé ses semelles, pardon ses spartiates dans les rues du Vigan.
Mais tout de même!de là à y faire dire n'importe quoi! Rassurez vous, chers lecteurs cet article n'est pas de moi.
Alain
COMMENTAIRE de Alain Combes
Vendredi 16 Juillet 2010
Je sais que je raconte souvent dans cette revue (sous l'oeil bienveillant de l'ami Patrick )des galéjades certes, mais pas des bétises.
S'il en était ainsi je dirais que le mot Cévennes: vient de l'occitan "cebe" qui veut dire oignon avec le suffixe collectif "enna" autrement dit : le pays des oignons"
cette définition réjouirai sans nul doute les gens de ST Martial , mais elle est comme l'autre :"fantaisiste"!
Personnellement je préfère citer Jacques Astor dans son dictionnaire des noms du midi de la france p 228 ("cebennae montes" par jules César (et non sept veines)"kemmena ore" d'aprés le géographe grec Ptolémée). Ces formes présentent toutes un radical "kem,cem,ceb" et le suffixe gaulois"ena.La racine préceltique "Kem" signifie : courbure , montagne arrondie. Cette racine a donnée le celte "cem" dos.
Dont il est trés raisonnable de dire que le nom Cévennes désigne une chaîne de
montagnes aux formes douces, ce qui semble coller à la réalité
Aprés cette mise au point nécessaire , bien amicalement à tous
Alain
COMMENTAIRE de Alain Combes
Samedi 17 Juillet 2010
En relisant mon article je m'aperçois que j'ai peut être, emporté par mon esprit critique, poussé le bouchon un peu trop loin.Il est vrai cependant que l'auteur de l'article, aurait du, dans son article, cité le nom de "l'historien?" qui a décrété que le mot Cévennes a été "inventé" par l'illustre empereur. Comme cela les reproches se seraient reportées sur l'auteur de cette trouvaille et non sur celui qui a relaté simplement ce qu'il avait lu.
je pense toutefois ne pas avoir trop faché l'auteur de l'article et si cela était le cas qu'il reçoive mes plus sincères excuses.
le grand " Jules" auquel on vient de retrouver une trés belle statue à Arles dans les eaux boueuses du Rhone,doit bien se marrer dans sa tombe en apprenant qu'il savait parler Français avant tout le monde.
Pour terminer je pose une question.
Doit on, lorsque un auteur d'article dit des choses sujettes à caution, remettre les choses dans le droit chemin ?
Vous êtes invités à donner sincèrement votre avis.
Amicalement à tous
Alain
COMMENTAIRE de Denise FEVRIER
Lundi 19 Juillet 2010
Bonjour,
pour ma part c'est oui, en donnant les sources à contrario sans villenpider
celui qui relate une lecture en effet : j'inviterai ce dernier à diffuser sous forme de question au spécialiste..............
Amicalement, Denise
COMMENTAIRE de Alain Combes
Mardi 27 Juillet 2010
D'abord merci à madame Fevrier de bien vouloir répondre à mes interrogations.
Spécialiste c'est beaucoup trop d'honneur, je suis simplement un peu plus curieux que certains et m'intéresse à des choses qui pour eux n'ont aucune valeur. Tout jeune je lisais une rubrique"Onomasticos" qui paraissait sur "MIDI LIBRE" le quotidien local.Déjà à cette époque, à la dite rubrique, un certain Alain Nouvel expliquait trés bien l'origine des noms, et il parlait déjà à cette époque des racines pré-indoeuropéennes.
Aussi je ne comprends pas qu'encore de nos jours certains s'entêtent à raconter la-dessus des histoires les plus fantaisistes.
Comme vous le dites ces gens là devraient, en donnant des définitions fantaisistes, ajouter à la suite un grand point d'interrogation, ex : (les arabes sont bien passer au Vigan en venant par le col portant leur nom, le col des Mourèzes, autrement dit "des Maures")
il faudrait ajouter:(Est il sûr que les arabes soit passer par le Vigan ? "Mourèze" provient il bien du mot "Maures" ???)
Et même, à la rigueur, proposer sa propre définition.
("Mourèze: par l'occitan "Maoure", marne et le suffixe collectif "ésa" signifie plus certainement : terrains marneux. Il est donc fort problable que les arabes ne soient jamais passés au Vigan, lieu qui n'existait pas encore à l'époque où du moins à son emplacement actuel)
J'espère que mon explication a satisfait tous les curieux ( ils ont raison de l'être) qui regardent ce forum!
Alain
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N° 92 de Sylvie DELHOME Dimanche 11 Juillet 2010
SUJET : Valdeyron
Bonjour, en venant faire des recherches à Valleraugue, J'ai visité ce charmant village et sur une façade j'ai apperçu un ancien "café imperial tenu par Valdeyron". Serait-ce possible de savoir qui était les propriétaires ?
Merci
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N° 91 de Denise FEVRIER Vendredi 25 Juin 2010
SUJET : familles cévenoles
Bonsoir à tous,
merci de bien vouloir m'indiquer comment consulter les généalogies des familles
cévenoles de la rubrique bibliotèque.
amicalement, Denise
COMMENTAIRE de Gilles Fournier
Lundi 28 Juin 2010
Bonjour,
Ces généalogies ne sont consultables que dans notre local à Valleraugue.
Cordialement
le webmaster
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